Il y a, au départ, l’appel du football, lancé dans la profondeur du travail de la PaC. Ce sport, fédérateur, chorégraphique, constitue un objet d’études et une source d’inspiration de la compagnie. C’est une matière idéale pour mettre en mouvement le corps, chercher l’ensemble et le groupe.

Il y a, ensuite, le contre-appel d’une question, celle de l’enfant et de l’enfance. À cet âge flottant de la vingtcinquaine jusqu’à la post-trentaine, pointe et subsiste la question de la reproduction, de la mise au monde d’un enfant. Mais sur quel monde mise-t-on dans ce processus ? À l’heure de la dissolution de la planète, pourquoi commettre cet acte et à quelle fin ?

Dans une composition d’équipe réduite, tel un five, un match tragique à 5 performeurs et performeuses auxquels s’accolent des amateurs et amatrices de 7 à 77 ans, on question ce XXIème siècle de la pandémie, de la guerre, des coupes du monde. Comment les figures de la tragédie classique et shakespearienne peuvent-t-elles servir d’étendard, de crachoir ou de muselière ?

La distribution est intergénérationnelle, elle rassemble amateur.ices et professionnel.les, elle ressemble à tout le monde, elle invite les non-choisi.e.s, celles et ceux qui, en dépit du déterminisme social, montent sur scène.

surface de réparation

match tragique

titre provisoire

création le 12 mars 2024 dsn dieppe scène nationale

/ extrait

« Je m’appelle Cyrielle, j’ai 19 ans. Je joue le rôle de Phèdre. Mon mot tabou c’est désespoir, mon mot totem c’est passion. Merci de m’avoir considérée »

Cyrielle, Centre Dramatique National d’Orléans

surface de réparation

création le 12 mars 2024 dsn dieppe scène nationale

Il y a, au départ, l’appel du football, lancé dans la profondeur du travail de la PaC. Ce sport, fédérateur, chorégraphique, constitue un objet d’études et une source d’inspiration de la compagnie. C’est une matière idéale pour mettre en mouvement le corps, chercher l’ensemble et le groupe.

Il y a, ensuite, le contre-appel d’une question, celle de l’enfant et de l’enfance. À cet âge flottant de la vingtcinquaine jusqu’à la post-trentaine, pointe et subsiste la question de la reproduction, de la mise au monde d’un enfant. Mais sur quel monde mise-t-on dans ce processus ? À l’heure de la dissolution de la planète, pourquoi commettre cet acte et à quelle fin ?

Dans une composition d’équipe réduite, tel un five, un match tragique à 5 performeurs et performeuses auxquels s’accolent des amateurs et amatrices de 7 à 77 ans, on question ce XXIème siècle de la pandémie, de la guerre, des coupes du monde. Comment les figures de la tragédie classique et shakespearienne peuvent-t-elles servir d’étendard, de crachoir ou de muselière ?

La distribution est intergénérationnelle, elle rassemble amateur.ices et professionnel.les, elle ressemble à tout le monde, elle invite les non-choisi.e.s, celles et ceux qui, en dépit du déterminisme social, montent sur scène.

/ extrait

« Je m’appelle Cyrielle, j’ai 19 ans. Je joue le rôle de Phèdre. Mon mot tabou c’est désespoir, mon mot totem c’est passion. Merci de m’avoir considérée »

Cyrielle, Centre Dramatique National d’Orléans